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Crash de l’avion russe : L’hypothèse sciemment oubliée par la presse

Crash de l’avion russe : L’hypothèse sciemment oubliée par la presse

La dernière communication avec les contrôleurs aériens dont personne ne parle. Et pour cause!

Revenant de vacances en Égypte, Darina Gromova, âgée de 10 mois, était en route vers sa maison quand son avion est tombé dans le désert du Sinaï.

 

Carmi Gillon a révélé qu’une organisation terroriste peut aujourd’hui prendre le contrôle d’un avion et « réussir une opération du style 11/9/2001 », sans qu’aucun terroriste de chair et de sang ne soit à bord.
(( Carmi Gillon est l'ancien patron du Shin Bet, Service général de la sécurité d’Israël, « The double-edged sword of cyberguerre », Times of Israel, 24 juin 2015))

« Les réseaux informatiques permettent d’attaquer un autre État-nation dans une action offensive, d’obtenir même la victoire sans laisser d’indices, même en étant soupçonné. Nous en sommes déjà là ; nous ne parlons pas d’un avenir lointain. Nous avons connu cela au jour le jour lors d’actions d’Israël contre ses ennemis . » a dit pour sa part Moshe Ya’alon, le ministre de la Guerre israélien. ( Times of Israel, 24 juin 2015))

« Dysfonctionnement des appareils sans fil »

Selon des responsables de l’aviation égyptienne, l’avion russe volait à 31.000 pieds en vitesse de croisière, quand il a perdu le contact avec les contrôleurs de la circulation aérienne. (« Officials search for cause of plane crash over Egypt’s Sinai », AP 31 octobre 2015)

Un responsable du contrôle de la circulation aérienne égyptienne a déclaré aux journalistes locaux que la dernière communication avec le pilote de l’avion russe a eu lieu alors qu’il volait à 30 mille pieds. Le pilote se plaignait du mauvais fonctionnement des appareils sans fil et il a demandé d’atterrir d’urgence à l’aéroport le plus proche. ( « Russian plane crash », The Telegraph (UK), 31 octobre 2015)


Le 31 octobre, le crash de l’avion de ligne de la Metrojet russe dans le désert du Sinaï, près de la frontière entre Égypte et Israël, éveille des soupçons suscités par le jeu odieux mêlé à la chute de l’avion. Bien qu’il soit trop tôt pour dire à quoi est dû l’accident, il y a des indices clairs suggérant que l’avion a été saboté à distance – par l’intermédiaire de sa connexion par satellite à Internet.


L’avion russe est tombé au sud d’Al Arish, près de la frontière israélienne. L’Unité 8200, principale installation dédiée à la cyberguerre et au piratage informatique d’Israël, est située dans le kibboutz d’Urim, très près de la frontière.

La cyber-guerre se définit par « Les actions d’un État-nation visant à s’introduire dans les ordinateurs ou les réseaux informatiques d’un autre pays dans le but d’y créer des dommages ou des perturbations. »

Unité 8200 de l’intelligence militaire.

La principale installation de veille automatique d’Israël [collecte des signaux émis par les satellites, NdT], est située dans le kibboutz d’Urim, à moins de 60 miles au NNE du point de chute de l’avion russe. L’Unité 8200, une installation de piratage informatique, plus grande branche de l’armée israélienne, est responsable des capacités de cyber-offensives de l’armée. The Telegraph a rapporté en 2010 : « Basée dans le désert du Néguev, l’Unité 8200, à l’origine arme de veille automatique de l’armée israélienne, est devenue leader respecté dans la guerre de haute technologie. »

Des légions de hackers.

Connue sous le nom d’Unité 8200, l’installation de veille automatique d’Israël a «des rangées d’antennes paraboliques qui interceptent secrètement les appels téléphoniques, les courriels et les autres communications. » Il est possible que cette installation d’espionnage ait pu surveiller le système de navigation de l’avion et communiquer directement avec lui à l’insu de l’équipage.

C’était l’intrigue de l’émission pilote « Au cœur du complot », qui décrivait un avion de ligne détourné à distance vers le World Trade Center. Ce programme a été diffusé sur FOX TV en mars 2001. Arnon Milchan, grand manitou d’Hollywood appartenant au Mossad et partenaire d’affaires de Rupert Murdoch, est supposé être le véritable auteur du complot diabolique.

Le fait que la dernière communication du pilote ait signalé depuis 30.000 pieds le dysfonctionnement des périphériques sans fil de l’avion, et qu’il ait demandé d’atterrir d’urgence, indique que l’avion pouvait être en train d’être piraté de l’extérieur, par sa connexion satellite sans fil. Il est intéressant de noter que le rapport sur le « dysfonctionnement des appareils sans fil » n’a été publié par aucun organe de presse aux USA.

En second lieu, le fait que la dernière communication provenait du pilote est important. Même si l’avion était en perte de vitesse, comme il semble que ce soit le cas, pendant la chute depuis 30.000 pieds, le pilote a quand même eu quelques minutes pour appeler les contrôleurs de la circulation aérienne au Caire – à moins que la liaison n'ait été coupée, ce qui semble être le cas.

Viktor Yung, un directeur général de la compagnie Metrojet, a dit, « à partir du moment où les événements ont pris une tournure tragique, l’équipage a été frappé d’incapacité, » ajoutant qu’il n’y a pas eu « un seul essai de communication (avec le contrôle de la circulation aérienne) pour signaler ce qui se passait à bord. »

Aucun SOS

L’autorité de l’aviation civile égyptienne a signalé qu’aucun SOS de l’avion n’a été envoyé et que la communication avec celui-ci était normale jusqu’à ce qu’il disparaisse des écrans radar. C’est une donnée très révélatrice, puisque cela veut dire que les canaux de communication normaux avec le cockpit avaient été coupés avant que l’avion n’ait été détourné et saboté à distance.

Sur le site de suivi Flightradar24, le dernier contact avec le vol montre l’avion grimpant à 30.875 pieds, après quoi les indications d’altitudes et de vitesse apparaissent erratiques. La dernière altitude enregistrée est de 27.925 pieds à une vitesse d’à peine 62 nœuds. Apparemment, les moteurs de l’avion avaient perdu toute leur puissance. Le fait que la dernière altitude enregistrée par Flightradar24 était 27.925 pieds, indique que le transpondeur ADS-B de l’avion avait cessé de fonctionner – ou était éteint à ce moment.

Ces rapports semblent révéler un détournement à distance, par un «pilote au sol» clandestin, qui a piraté le système de vol de l’avion par l’intermédiaire de sa connexion par satellite à Internet, une chose que j’explique dans le chapitre « Why Did Crucial Computer Systems Fail? » de mon livre « Solving 9-11 ». Le détournement à distance est supposé être la cause de la chute des vols Egypt Air 990 et Malaysia Airlines 370, ce dernier ayant apparemment décroché au-dessus de l’océan Indien.

Répétition de l’attentat contre le vol Egypt Air 990 ?

L’avion russe se serait disloqué en vol. Cette dislocation peut s’être produite à la suite de forces extrêmes auxquelles l’avion aurait été soumis lors de brutales plongées et remontées dans les trente dernières secondes avant qu’il ne disparaisse de l’écran radar. Ce scénario est très similaire à l’accident du vol Egypt Air 990, qui s’est abattu en faisant 217 victimes, exactement 16 ans plus tôt, le 31 octobre 1999, au-dessus de l’océan Atlantique, à 62 miles au sud de l’île de Nantucket.

Des changements radicaux dans la vitesse verticale de l’avion (c’est-à-dire des plongées et des remontées erratiques) peuvent avoir provoqué la dislocation de l’avion à haute altitude. Le 4 novembre, des médias égyptiens et russes ont signalé qu’une « explosion de moteur » est supposée être la cause la plus probable de l’accident. Si tel est le cas, à quel moment de la chronologie ci-dessus le moteur a-t-il explosé ? Notons que les signaux du transpondeur de l’avion russe cessent brusquement vers 28.000 pieds, alors que la vitesse au sol de l’avion n’est que de 62 nœuds.

Les ascensions abruptes de l’avion russe ont provoqué sa perte de vitesse et son décrochage, exactement ce qui est arrivé au Vol 8501 de la compagnie Indonesia AirAsia (un Airbus A320 de propriété malaise, tombé en mer de Java) en décembre 2014 (voir : L’avion AirAsia a grimpé à une vitesse pour laquelle ne sont pas conçus les avions commerciaux).

 

La queue de l’AirAsia 8501 s’est cassée net, tout comme s’est détachée la queue de l’avion russe au-dessus du Sinaï. Ces deux avions, manifestement poussés à fond lors d’ascensions extrêmes – dépassant de loin ce pourquoi ils avaient été conçus –, ont été soumis à des forces qui l’ont fait se disloquer.

La queue se serait-elle détachée à cause d’un «téléchargement excessif» ?

« L’aileron et l’arrière du fuselage étaient à environ 2,25 km au sud de l’aile avant et du fuselage, et au sud de la dernière position radar. C’est comme s’ils s’étaient détachés pour une raison quelconque. Les photos de l’aileron et du fuselage arrière montrent une rupture latérale en haut du bâti, indiquant que c’est l’endroit où a démarré la brisure et elle s’est aggravée vers le bas jusqu’à se séparer complètement du reste de l’avion, au moment où l’arrière s’est plié vers le bas. Cela indiquerait que la défaillance est due à un téléchargement excessif [une télécommande déraisonnable envoyée par les dispositifs sans fils, NdT] sur le stabilisateur horizontal ou à une rupture de fatigue en haut du bâti adjacent au fuselage, la pressurisation ayant ensuite fait sauter l’arrière. » (Source : Aero Eng Aviator, Plane Talking, 3 novembre, 2015)

Est-ce que la queue a été amenée à se rompre parce que l’avion a été poussé dans une ascension extrême ? Si le pilote était sans contact avec l’extérieur, qui a poussé l’avion dans des manœuvres aussi draconiennes ?

L’épave suggère que l’avion s’est désintégré à haute altitude. Alexander Neradko, chef de l’Agence fédérale russe du transport aérien, a déclaré le 1er novembre : « Tous les signes montrent que la destruction de la structure de l’avion s’est produite en l’air, à une altitude élevée. » Neradko a dit que débris de l’Airbus A321 étaient dispersée dans une «ellipse allongée » de 3 miles de longueur sur 2,5 miles de largeur.


Un avion doté d’une connexion par satellite à Internet peut être détourné depuis le sol par un hacker s’introduisant par effraction dans son réseau informatique.


Détournement à distance

La connexion Internet utilisée sur l’avion Airbus 321 et d’autres, peut être exploitée par un pirate externe afin d’obtenir l’accès au système de navigation de l’avion.

La compagnie aérienne exclut toute défaillance technique ou erreur de pilotage

Deux jours après la chute de l’avion, la compagnie russe qui l’exploitait a fait savoir que la catastrophe ne pouvait être due à une défaillance technique ou une erreur humaine. Alexander Smirnov, directeur général adjoint de la compagnie aérienne Kogalymavia, a déclaré que l’accident pouvait seulement résulter d’une autre « action technique ou physique » ayant entraîné la dislocation en l’air et la chute au sol.

Smirnov n’a pas précisé ce qu’aurait pu être cette action, disant que c’est à l’enquête officielle de la déterminer. La compagnie aérienne avait déclaré auparavant que des « facteurs externes » étaient derrière l’accident.   « L’avion était en excellent état, » a dit Smirnov à une conférence de presse à Moscou. Il a dit : «Nous excluons toute défaillance technique et toute erreur de l’équipage.»

Smirnov a également dit que les pilotes n’ont pas appelé les services d’urgence au sol pendant le vol.

Les médias contrôlés ne parlent évidemment pas de la théorie du «drone »

La « guerre contre le terrorisme » est aussi une guerre de tromperie. La tromperie des médias contrôlés est un élément central de la fausse «guerre contre le terrorisme », dans laquelle est appliquée la tactique primaire du terrorisme sous fausse bannière parrainée par l’État. Parce que la perception du public est cruciale pour perpétuer la « guerre contre le terrorisme » bidon, les médias contrôlés omettront toujours les informations qui révèlent la supercherie.


La BBC, un acteur clé de la tromperie derrière la fausse « guerre au terrorisme », omet toute discussion sur la possibilité que l’avion russe ait pu être détourné à distance, grâce à la même technologie utilisée par les USA et Israël pour piloter leurs drones.

Bon exemple de ce genre d’omission, l’article de BBC News publié le 2 novembre 2015, intitulé « Sinai plane crash: Four theories », qui énumère ce qu’ils disent être « les quatre théories » qui seront examinées par les enquêteurs internationaux. Les quatre théories présentées par la BBC sont : défaillance technique, erreur humaine, missile et bombe à bord. La BBC ou les autres médias contrôlés ne mentionnent absolument pas la possibilité très réelle du détournement à distance de l’avion et de la prise de contrôle de l’extérieur ayant provoqué sa destruction.

C’est une omission flagrante de la théorie la plus évidente, jusqu’à présent étayée par des évidences. C’est comme si la BBC et les médias contrôlés ne connaissaient pas la technologie des drones, en dépit que les USA et Israël utilisent quotidiennement des drones télécommandés dans la supercherie sioniste connue sous le nom de « guerre contre le terrorisme ». Pour un hacker distant, transformer un avion de passagers en drone consiste à pirater son système de navigation, et à prendre son contrôle à la place de l’équipage dans le cockpit.

Pour la BBC et les médias contrôlés par les sionistes, omettre la possibilité que l’avion ait été détourné à distance grâce à la technologie du drone, révèle le rôle clé joué par les médias dans la tromperie sioniste-bankster imposée aux Étasunien et au monde. L’omission par les médias contrôlés de la théorie du détournement à distance est destinée à cacher cette possibilité au public. Et cela suggère qu’ils peuvent très bien savoir comment l’avion a été abattu.

 

Sources: Bollyn.com , Réseau International